Canon et Ricoh dominent depuis des décennies le marché des photocopieurs professionnels.
Ces deux géants japonais se disputent la préférence des entreprises grâce à des gammes complètes, performantes et adaptées à tous les volumes d’impression.
Mais derrière des fiches techniques souvent proches, il existe de vraies différences sur la qualité, la maintenance, la simplicité d’usage et le coût global.
Chez Buroprint, nous travaillons depuis plus de quinze ans avec les produits Canon, mais nous connaissons aussi très bien les Ricoh installés chez nos clients avant migration.
Voici notre comparatif objectif, basé sur l’expérience terrain.
1. Fiabilité mécanique et longévité : Canon, plus constant dans le temps
Ricoh propose d’excellents copieurs, mais Canon garde l’avantage sur la stabilité mécanique et la durée de vie des composants.
Les séries imageRUNNER ADVANCE DX et ImageFORCE sont réputées pour leurs châssis solides et leurs moteurs d’impression quasi indestructibles.
Les cycles de maintenance sont plus longs, les tambours supportent de gros volumes, et les incidents papier sont rares.
Ricoh, en revanche, a tendance à nécessiter des interventions plus fréquentes, notamment sur les chargeurs de documents et les kits de fusion.
Dans un environnement à fort volume (plus de 10 000 pages/mois), Canon s’avère plus endurant et moins coûteux à entretenir.
2. Qualité d’impression : Ricoh précis, Canon plus naturel
Les deux marques offrent une qualité d’image irréprochable, mais leur rendu diffère.
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Ricoh produit des impressions nettes et contrastées, très adaptées aux documents techniques ou aux plans.
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Canon, grâce à son moteur V2 Color, restitue des couleurs plus riches et naturelles, idéales pour les supports commerciaux ou les présentations.
Pour les entreprises du secteur communication, design ou direction marketing, le rendu Canon fait souvent la différence visuelle.
Côté bureautique pure, Ricoh reste excellent, mais légèrement plus froid dans le rendu.
3. Interface utilisateur et ergonomie : Canon surclasse la concurrence
C’est le domaine où Canon a vraiment creusé l’écart.
L’interface tactile des séries DX, très proche d’une tablette, est fluide, personnalisable et réactive.
Les menus sont clairs, traduits, et les fonctions (scan, envoi, copie) accessibles en deux clics.
Chez Ricoh, malgré des progrès récents, les interfaces restent plus complexes et moins intuitives, avec des menus parfois dispersés.
Les utilisateurs occasionnels s’y perdent plus facilement.
En entreprise, cela se traduit par moins de temps perdu et moins de formation avec Canon.
4. Environnement logiciel et connectivité
Ricoh propose ses propres outils documentaires (Smart Operation Panel, Streamline NX), mais Canon conserve une longueur d’avance avec sa suite uniFLOW Online Express.
Cette plateforme de gestion centralisée permet :
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de suivre les impressions par utilisateur,
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d’imposer des règles (recto-verso, couleur, quotas),
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et d’envoyer directement les scans vers Google Drive, SharePoint ou OneDrive.
L’écosystème Canon est aussi plus ouvert et compatible avec les environnements hybrides (Windows, macOS, Linux).
C’est un atout réel pour les PME et collectivités équipées de parcs mixtes.
5. Sécurité et gestion des données
Les deux marques respectent les normes de sécurité actuelles, mais Canon pousse plus loin la protection native des données.
Chaque appareil est livré avec un chiffrement AES 256 bits, une fonction d’effacement automatique du disque dur et une mise à jour firmware continue.
Ricoh propose des options similaires, mais souvent sous forme d’add-ons payants ou nécessitant configuration manuelle.
Dans les environnements sensibles (juridique, médical, administration), Canon reste plus “plug and secure”.
6. Maintenance et disponibilité des pièces
C’est souvent le critère décisif pour les clients.
Canon dispose d’un réseau de partenaires agréés dense et réactif en France, dont Buroprint fait partie.
Les pièces détachées officielles sont disponibles rapidement, et la documentation technique est parfaitement accessible aux techniciens.
Chez Ricoh, la logistique est centralisée et parfois plus lente, notamment pour les modèles de plus de 4 ans.
Résultat : des délais de réparation plus longs et une disponibilité moins constante pour les pièces spécifiques.
7. Coût total d’exploitation (TCO)
Sur le papier, certains modèles Ricoh sont proposés à un tarif d’achat légèrement inférieur.
Mais sur la durée, Canon reprend l’avantage grâce à :
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une consommation d’énergie plus basse,
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des consommables plus durables,
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et un taux de panne réduit.
Le coût à la page Canon reste souvent 10 à 15 % inférieur sur 3 ans d’utilisation.
C’est la différence entre une machine bon marché et une solution rentable à long terme.
Conclusion
Ricoh reste une excellente marque, fiable et techniquement solide.
Mais Canon, avec ses séries imageRUNNER ADVANCE DX et ImageFORCE, offrent aujourd’hui le meilleur équilibre entre performance, ergonomie et fiabilité.
Les entreprises qui choisissent Canon bénéficient d’un environnement intuitif, d’une maintenance simplifiée et d’un coût global maîtrisé.
Chez Buroprint, nous avons accompagné des dizaines d’entreprises dans leur transition Ricoh → Canon, avec des résultats mesurables dès les premiers mois : moins de pannes, plus de productivité, plus de sérénité.
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